Cultiver des terres en bio et valoriser nos récoltes en les transformant, est pour nous essentiel dans le métier de paysan.
Les hommes ne sont point faits pour être entassés en fourmilières, mais épars sur la terre qu’ils doivent cultiver.
Jean-Jacques Rousseau
« De nos champs à cotre cuisine » est un concept qui replace le métier de paysan à son rôle originel, celui de nourrir les habitants d’un territoire, en vente directe, dans un contexte d’agriculture durable.
Les travaux à la ferme sont nombreux et variés, en plus des ateliers meunerie et huilerie (cliquez sur les mots pour en savoir plus).
En 2018, nous fabriquerons également des pâtes avec et sans gluten.
L’agriculture biologique requiert une technicité importante ainsi que des paysans motivés et besogneux : triage avant semis et après récolte, désherbage manuel, observation méticuleuse des parcelles …
Notre exploitation est un endroit unique d’expérimentation, de remise en question perpétuelle et en cela, il est évident que l’ennui ou la routine n’ont pas leur place …
Et puis, c’est aussi une belle histoire de famille …
La ferme est composée de 2 hangars : l’un sert à protéger les tracteurs et le matériel tracté servant à désherber mécaniquement les cultures ou à préparer les terres avant semis par exemple.
Le 2ème hangar a été bardé en Douglas (bois naturellement imputrescible) afin d’y installer notre atelier de transformation (moulin et presse) et d’y stocker chacune de nos récoltes dans des cellules ou des big bags suivant les quantités que nous souhaitons transformer et garder pour le semer ultérieurement (l’autonomie en semences est essentielle au sein d’une exploitation conduite selon le mode biologique).